La France a reçu à l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) "un briefing technique ouvert à l'ensemble des Etats membres", a expliqué la porte-parole adjointe du Quai d'Orsay lors d'un point presse régulier du ministère. Mais "toutes ces informations ne sont pas reflétées dans le rapport au Conseil des gouverneurs", a-t-elle ajouté.
Elle a souligné que "c'était le sens de la demande exprimée" par le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner.
"La seule motivation de la France est le plein respect par l'Iran de ses obligations internationales", a-t-elle dit.
Le directeur général de de l'AIEA, Mohamed ElBaradei, a rejeté lundi à Vienne les accusations d'avoir dissimulé des preuves contre l'Iran, ajoutant qu'elles ont été "motivées politiquement et absolument sans fondements".
"Je suis consterné par les accusations de certains Etats membres, qui ont été livrées aux médias, que des informations n'ont pas été communiquées au conseil" des gouverneurs, a-t-il déclaré devant les 35 membres de ce conseil réunis à Vienne.
Ces accusations émanaient récemment d'Israël et de France, alors que M. ElBaradei qui quitte ses fonctions le 30 novembre, a été accusé, notamment par Washington, de ne pas s'être montré assez sévère avec l'Iran.
La semaine dernière, Bernard Kouchner avait demandé pourquoi M. ElBaradei refusait de publier des annexes de son dernier rapport.
"Pourquoi ne nous communique-t-il pas les annexes de son rapport", s'était interrogé M. Kouchner devant quelques journalistes. "Il est clair à la lecture des documents de l'AIEA qu'aucune question n'a trouvé de réponse. Dans les annexes il y a très précisément des éléments qui nous permettent de nous interroger sur la réalité d'une bombe atomique". "Il y a des problèmes d'ogives, de transport, etc...", avait-il ajouté sans plus de précisions.
Elle a souligné que "c'était le sens de la demande exprimée" par le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner.
"La seule motivation de la France est le plein respect par l'Iran de ses obligations internationales", a-t-elle dit.
Le directeur général de de l'AIEA, Mohamed ElBaradei, a rejeté lundi à Vienne les accusations d'avoir dissimulé des preuves contre l'Iran, ajoutant qu'elles ont été "motivées politiquement et absolument sans fondements".
"Je suis consterné par les accusations de certains Etats membres, qui ont été livrées aux médias, que des informations n'ont pas été communiquées au conseil" des gouverneurs, a-t-il déclaré devant les 35 membres de ce conseil réunis à Vienne.
Ces accusations émanaient récemment d'Israël et de France, alors que M. ElBaradei qui quitte ses fonctions le 30 novembre, a été accusé, notamment par Washington, de ne pas s'être montré assez sévère avec l'Iran.
La semaine dernière, Bernard Kouchner avait demandé pourquoi M. ElBaradei refusait de publier des annexes de son dernier rapport.
"Pourquoi ne nous communique-t-il pas les annexes de son rapport", s'était interrogé M. Kouchner devant quelques journalistes. "Il est clair à la lecture des documents de l'AIEA qu'aucune question n'a trouvé de réponse. Dans les annexes il y a très précisément des éléments qui nous permettent de nous interroger sur la réalité d'une bombe atomique". "Il y a des problèmes d'ogives, de transport, etc...", avait-il ajouté sans plus de précisions.
Source : lexpress.fr via @koutchoulou
En outre, il est difficile d'admettre que la conclusion d'un rapport technique s'engage sur des considérations politiques portant sur l'inutilité d'éventuelles sanctions économiques qui ne ressortent pas de la compétence de l'AIEA.
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