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On apprend qu'Ahmadinejad est revenu sur sa décision de limoger son Ministre de la Culture, par contre le ministre du Renseignement est renvoyé. Les informations concernant le renvoi de deux autres ministres n'ont pas pu être vérifiées. Le renvoi de quatre ministres ou plus doit être avalisé par un vote de confiance du Parlement Iranien. Au moins une vingtaine de haut fonctionnaires du ministère du Renseignement ont également été limogés pour n'être pas parvenus à démontrer que le soulèvement populaire était provoqué par des puissances étrangères.
La date d'inauguration de la présidence d'Ahmadinejad est imprécise, après avoir été fixée au 2 Août, un nouveau communiqué suggère qu'elle pourrait être reportée au 5 Août, alors que d'autres évoquent la date du 4 Août. Cette cérémonie devrait provoquer des mouvements de contestation populaire, ce qui suggère qu'elle aura bien lieu le 2 Août.
Le directeur des centres de rétention de la province de Mazandaran a déclaré que la prison de Sari détenait un millier de prisonniers, soit quatre fois plus que sa capacité et que plus de 60 personnes étaient maintenues dans des cellules prévues pour 12.
Pour la restitution des corps des prisonniers tués pendant leur détention ou au cours des manifestations, les autorités exigent que les familles reconnaissent par écrit que leurs proches sont morts à cause de maladie mortelle contractée avant leur incarcération. S'ils refusent, les corps ne sont pas rendus. Les familles sont aussi fortement menacées pour ne pas divulguer publiquement l'état ou le décès de leur proches détenus.
Les cérémonies funéraires sont interdites pour les personnes tuées par la répression du soulèvement post-électoral.
La cérémonie du Jeudi 30 Juillet célébrant la date anniversaire des quarante jours après la mort de Néda et des premiers manifestants, organisée à l'initiative de Moussavi et Karoubi, est interdite par le gouvernement.
La date d'inauguration de la présidence d'Ahmadinejad est imprécise, après avoir été fixée au 2 Août, un nouveau communiqué suggère qu'elle pourrait être reportée au 5 Août, alors que d'autres évoquent la date du 4 Août. Cette cérémonie devrait provoquer des mouvements de contestation populaire, ce qui suggère qu'elle aura bien lieu le 2 Août.
Le directeur des centres de rétention de la province de Mazandaran a déclaré que la prison de Sari détenait un millier de prisonniers, soit quatre fois plus que sa capacité et que plus de 60 personnes étaient maintenues dans des cellules prévues pour 12.
Pour la restitution des corps des prisonniers tués pendant leur détention ou au cours des manifestations, les autorités exigent que les familles reconnaissent par écrit que leurs proches sont morts à cause de maladie mortelle contractée avant leur incarcération. S'ils refusent, les corps ne sont pas rendus. Les familles sont aussi fortement menacées pour ne pas divulguer publiquement l'état ou le décès de leur proches détenus.
Les cérémonies funéraires sont interdites pour les personnes tuées par la répression du soulèvement post-électoral.
La cérémonie du Jeudi 30 Juillet célébrant la date anniversaire des quarante jours après la mort de Néda et des premiers manifestants, organisée à l'initiative de Moussavi et Karoubi, est interdite par le gouvernement.
Source : Anonymous Iran / Photo : IranFocus
Des politiciens de la ligne dure menacent Ahmadinejad de destitution si il continue à défier le Guide Suprême, comme d'autres président l'on déjà été par le passé, en particulier le président Abolhassan Bani-Sadr en 1981, malgré qu'il ait été élu par une large majorité.
Source : Los Angeles Times
La cérémonie à la mémoire des martyrs initiée par Mousavi et Karoubi est maintenue pour demain Jeudi 18 heures à Téhéran (15h30 heure française).
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